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FSJU Sud-Ouest : une région dynamique !

Le FSJU Sud-Ouest : une région dynamique et innovante !

PRÉSENTATION DE LA DÉLÉGATION

 

Autour des trois salariés et de plusieurs comités locaux, la délégation régionale poursuit son action dans le Sud-Ouest. À Toulouse en particulier, les difficultés rencontrées ne découragent pas les forces vives de la communauté.

La délégation régionale FSJU-AUJF basée à Toulouse est la plus importante de par le périmètre géographique qu’elle recouvre ; tout le Sud-Ouest de l’Hexagone, c’est-à-dire 23 départements répartis entre les (nouvelles) Régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine.
Numériquement, Toulouse est la communauté la plus importante de la région avec environ 15 000 âmes, suivie de Bordeaux, Montpellier et Perpignan.
La délégation comprend une équipe de trois professionnels, Laurent Taïeb, délégué régional FSJU-AUJF, Patricia Bouganim, déléguée de collecte AUJF et Linda Sztulman, coordinatrice régionale Passerelles et collaboratrice FSJU.

 

Le bénévolat

Elle s’appuie aussi sur l’engagement de plusieurs comités de bénévoles.

A Toulouse, le Comité FSJU, présidé par Yvan Lévy, est composé de neuf élus et de quatre représentants du GIC (social, culture, jeunesse et éducation).

Le Comité AUJF, présidé par Karine Bendayan, comprend une quinzaine de membres bénévoles.

A Bordeaux, le Comité FSJU, présidé par Albert Roche, est composé de trois élus et deux représentants du GIC (social et culture). Le Comité AUJF, présidé par Roselyne Haddad, est composé d’une dizaine de membres bénévoles.

Il existe dans la région Sud-Ouest plusieurs représentations FSJU-AUJF ; à Pau, Bayonne, Montpellier, Perpignan, Montauban et Agen.

 

Les associations régionales

La délégation régionale du FSJU fédère, accompagne et octroie des subventions à près d’une vingtaine d’associations régionales.

A Toulouse

Le CASIT, l’Espace du Judaïsme, l’association culturelle Hebraica, le CRIF, l’école Gan Rachi, le collège et lycée Ohr Torah, l’ORT Colomiers, Hebraïca Jeunesse, l’association Denise Epstein, le SPCJ, la Coopération Féminine et le Club de l’amitié à Toulouse.

A Bordeaux,

Le Centre culturel Yavné, la SBIB, l’école Gan Yossef.

Signalons enfin le centre culturel Simone Veil à Montpellier et, dans le Gard, le réseau Ezra et les centres culturels du Biterrois.

 

Les programmes

En plus du soutien aux associations, la délégation régionale porte elle-même certains programmes.

Le programme Bel Été réunit environ 50 seniors.

Les Sourires du Cœur propose un lien communautaire à de jeunes personnes en situation de handicap une fois par mois le dimanche après-midi.

La délégation régionale intervient aussi dans les écoles en attribuant des bourses cantine Latalmid : 30 000 € sur les quatre écoles.
Elle attribue également des conventions Samekh : 5 000 € pour deux psychologues sur trois écoles.

Le FSJU soutient aussi la Radio Kol Aviv à hauteur de 1 500€ à l’occasion de la Tsédaka.

La collecte

La collecte régionale de l’AUJF est de l’ordre de 500 000 € (dont 100 000 € dans le cadre de la campagne de l’Appel national pour la Tsédaka). Cette collecte est possible grâce à la générosité de plus de 2 000 donateurs.

La campagne de l’Appel national pour la Tsédaka s’inscrit à Toulouse comme un moment phare du calendrier. Chaque année l’organisation d’un événement de grande ampleur réunit alors environ 1000 personnes.

 

Même si depuis une petite dizaine d’années, la communauté toulousaine connait un déclin démographique, amplifié par le drame de mars 2012, le dynamisme, la motivation et la cohésion des forces vives communautaires locales restent intacts. La volonté d’agir n’a pas disparu, les idées sont là et le FSJU sera plus que jamais aux côtés de ceux qui inventent l’identité juive de demain.

 

 Laurent Taïeb dans Communauté Nouvelle n°211 

 

INDISPENSABLES SOLIDARITÉS

L'épicerie solidaire du CASIT permet d'aider plus de nombreuses personnes dans la région

L’aide sociale dans le Sud-Ouest, c’est d’abord le travail d’envergure mené par le CASIT ; ce sont aussi les dispositifs Bel Été, Les Sourires du Coeur et  Passerelles directement pilotés ou co-pilotés par le FSJU.

 

Le Comité d’action sociale israélite de Toulouse apporte son aide à quelque 300 personnes ; une majorité d’entre elles vit dans la région toulousaine mais le CASIT, qui a fusionné récemment avec le Réseau Ezra, couvre un périmètre qui va de Nîmes à La Rochelle et de Biarritz à Perpignan.

« Le profil de ceux que nous soutenons est très divers, explique Fred Kélif, le très dynamique président. Il y a des étudiants, des jeunes familles, des personnes divorcées ou âgées… » Les membres du bureau et les deux assistantes sociales se démènent pour soutenir les personnes qui les contactent – « Ils viennent souvent trop tard, ça complique les choses », regrette Fred Kélif – à travers la boutique sociale qui leur permet d’acheter des produits alimentaires et de l’électroménager à bas coût, des règlements de factures ou une aide aux frais de scolarisation des enfants.

Le CASIT fournit aussi des paniers à l’occasion des fêtes. Parce que l’équipe du CASIT a pleinement conscience que la misère est un tout, des psychologues sont sollicités et ont tâche de socialiser les personnes isolées en les conviant aux ateliers de lecture ou de relaxation accueillis au CASIT.

Les frais de fonctionnement du CASIT sont pris en charge par le FSJU. Les dons versés par les donateurs, la générosité n’a pas fait défaut lors de la dernière opération Tsédaka, bénéficient donc directement à nos frères dans le besoin.

 

Autant que d’argent, le CASIT a besoin de bénévoles
L’appel est lancé !

 

Nathan Kretz dans Communauté Nouvelle n°211 

 

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